Charbon granulé ou pellet ?

STOCKAGE

Lorsque vous achetez du charbon granulé en vrac, vous ne pouvez pas être sûr de recevoir la quantité que vous avez payée.

VOUS SAVEZ CE QUE VOUS PAYEZ

Nous conditionnons le pellet dans des sacs de 15 kg et les stockons sur des palettes. Une palette contient 65 sacs, ce qui équivaut à 975 kg. Il est facile de compter.

HUMIDITÉ

Le taux d’humidité du charbon granulé est d’environ 12 %. Toutefois, il ne s’agit que de déclarations, car stocké à l’extérieur, il absorbe l’humidité. Humide, il pèse aussi plus lourd.

HUMIDITÉ DU PELLET

Le taux d’humidité du pellet est indiqué sur le sac – il est toujours inférieur à 10 %, une valeur qui est constamment contrôlée.

CHAUFFERIE

Le lieu où se trouve la chaudière à charbon doit être spécialement préparé, avec une ventilation adéquate, pour éviter le risque lié au monoxyde de carbone. Une chaufferie au charbon est toujours sale, pleine de suie.

CHAUFFERIE À PELLET

Une chaufferie à pellet est un endroit toujours propre, sans poussière ni suie. Les chaudières à pellet sont modernes et extrêmement sûres. Grâce aux systèmes à évacuation forcée des fumées, ils peuvent même être placés dans les chambres à coucher et pas nécessairement directement sous le conduit de cheminée.

CENDRES

Cendres. En brûlant une tonne de charbon granulé, on obtient 100 kg de cendres. En d’autres termes, en achetant une tonne de charbon granulé, vous n’en utiliserez que 900 kg et devrez payer le traitement de 100 kg de déchets. Il convient d’en tenir compte dans le calcul.

DE LA CHAUDIÈRE VERS LES PARTERRES

La combustion d’une tonne de pellet génère 5 kg de cendres, qui constituent un précieux engrais pour les jardins.

SANTÉ ET ÉCOLOGIE

Lorsque vous brûlez du charbon granulé, vous libérez du benzo(a)pyrène cancérigène et d’autres substances nocives dans l’atmosphère, que vous, votre famille et vos voisins respirent.

ZÉRO ÉMISSIONS

Lorsque vous brûlez du pellet, comme du bois, vous libérez du dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Cependant, ceci est compensé par la quantité d’oxygène créée par la photosynthèse, pendant la période de croissance de l’arbre.